samedi 20 juin 2009
Une des principales différences entre l’homme et le reste du monde vivant c’est que l’homme agit hors de la nécessité vitale d’agir. Il agit en liaison avec un projet mental qui sort du cadre du nécessaire. Il agit pour des motifs obscurs, cachés, mentaux, en rapport avec son subconscient et son surconscient, sans toutefois qu’il en soit formellement informé lui-même. Voilà pourquoi l’action, quelle qu’elle soit, est le plus haut aboutissement de l’homme. Se priver d’action c’est se couper de la possibilité de faire jaillir hors de nous ce magma de pensées cachées. Rien n’est plus haut que l’action qui, forcément, traduit une partie de notre fond d’humain. « Un cerveau ne sert pas à penser, ça sert à agir » (H Laborit)
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