Interruption de 7 jours
samedi 28 février 2009
vendredi 27 février 2009
jeudi 26 février 2009
mercredi 25 février 2009
mardi 24 février 2009
lundi 23 février 2009
dimanche 22 février 2009
samedi 21 février 2009
vendredi 20 février 2009
jeudi 19 février 2009
mercredi 18 février 2009
Je me suis laissé guider par un chien qui s’appelle « paresse ». Il a choisi le chemin, suivant l’un ou l’autre en fonction des circonstances. Pendant ce temps je regardais ailleurs, je pensais à autre chose. Et lui me faisait avancer. Je ne décidais rien, je ne reconnaissais rien, je ne m’orientais pas. Le réveil fût brutal. Où suis-je ? Vers quarante ans j’essayais de me repérer mais tout m’apparaissais étrange. Je croyais pouvoir reprendre facilement le contrôle. Illusion ! J’ai perdu tout ce que la route devait m’apporter comme enseignements, puisque je baladais tête en l’air. Je dois continuer avec l’obligation de regarder bien loin en arrière afin de combler les trous de ma culture. Il me faut deux fois plus d’énergie pour me remettre à niveau qu’il m’en eut fallu au moment où je passais devant les connaissances. J’ai, je le pense, repris les rennes et tente de guider l’attelage qui me permet de cheminer. Constitué de « courage », « persévérance ».
mardi 17 février 2009
lundi 16 février 2009
dimanche 15 février 2009
samedi 14 février 2009
Notre peau est une camisole pour notre esprit. Plus ou moins serrée. Il est inutile de lutter car rien ne peut nous soulager du poids de notre corps. L’esprit peut juste atténuer cette sensation de lourdeur en se calmant, en appréciant la situation comme un ange revêtant une combinaison et s’amuse à quelques facéties, sachant qu’un jour il s’en libérera. Pour certains la camisole est plus serrée que pour d’autres. Mais plus l’esprit s’agite plus la camisole nous serre. Comme si nous nous trouvions dans un tuyau juste assez large pour nous contenir physiquement. Les claustrophobes hurleront ce qui aura pour effet d’augmenter la température ambiante, de bander les muscles qui alors prendront plus de place donc enserreront plus encore. Alors que le calme au contraire permettra au corps quelques mouvements, certes légers mais pouvant donner une impression de liberté. Il en est de même dans la vie. Apaisé nous voyons chaque action de façon plus claire. Nous nous mouvons plus aisément tout en sachant que « ce que l’on fait est dérisoire mais il est indispensable que nous le fassions ». Par contre l’agité a toujours l’impression, quoiqu’il fasse, de ne pas avancer. Il s’agite, brasse l’air sans que rien de tangible ne s’accomplisse.
vendredi 13 février 2009
Je trouve qu’il est apaisant de penser que le SEUL but à la vie est de se perpétuer, d’être en être, de parents à enfants, coûte que coûte, le reste étant superflu. Cela remet aussi en place la finalité du sexe. Comme la plante qui s’accroche entre les interstices d’un mur en brique, la vie S’ACCROCHE. Hommes et femmes, sans forcément en avoir pleinement CONSCIENCE, sont comme ces plantes et ne veulent que se reproduire, comme programmés par un invisible informaticien qui aurait implanté en nous ce programme. Comme les animaux en rut, les mâles chassant les femelles. Et l’acte sexuel toujours recommencé, même s’il ne connaît pas la finalité à laquelle il est destiné à savoir la continuation, la perpétuation de la vie, donne chaque fois l’illusion de celle-ci, nous fait ressentir que nous sommes en phase avec notre programme. D’où apaisement de l’instant d’après… Le bien être peut (devrait ?) se limiter aux conditions minimales pour se perpétuer, chacun, sans superflu, dans le respect de la nature qui nous nourrit, nous permet de grandir afin de nous perpétuer… Cependant POUR QUOI ??
jeudi 12 février 2009
mercredi 11 février 2009
mardi 10 février 2009
lundi 9 février 2009
dimanche 8 février 2009
samedi 7 février 2009
vendredi 6 février 2009
jeudi 5 février 2009
mercredi 4 février 2009
mardi 3 février 2009
lundi 2 février 2009
La croyance c’est l’esprit enfermé dans un dogme, un esprit suiveur, contraint. Il lui faut une méthode, un chemin pour accéder à l’ultime beauté. Tout cela n’est qu’une invention de l’homme. Chercher implique un but connu sinon on ne pourrait reconnaître ce dernier. C’est pourtant cela la vérité. La vérité n’existe que d’instant en instant. La continuité est le produit du temps, c’est la pensée. (Krishnamurti)
dimanche 1 février 2009
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