dimanche 30 novembre 2008
samedi 29 novembre 2008
vendredi 28 novembre 2008
LUCIEN : Alors, après cette formalisation d’une attitude mentale adoptée depuis bien longtemps, reconnue dans la PNL, qui évoque ce point d’appui pour savoir parler en publique ou lors des moments stressants, mais pas systématisée encore, sache qu’une image sera pour moi toujours source d’apaisement. C’est celle de ton jardin, du calme, de la sérénité qui y règne, de ses références aussi.
jeudi 27 novembre 2008
PENSEES : Nos perceptions mènent notre existence. Nous ne cherchons bien souvent qu’à les flatter. Voir un beau visage (la beauté rassure et il est d'ailleurs prouvé que nous trouvons beau ce que nous Reconnaissons, ce qui nous coûte le moins d'effort à reconnaître), , goûter un met délicat, un bon vin, toucher une peau douce, un tissu soyeux, entendre des sons harmonieux, sentir les fleurs, des parfums délicats. Nous nommons cela « plaisir ». A l’inverse le rugueux, le brutal heurte nos sens, fait « mal ». Nous voulons donc le chasser, renouveler le « bon » sans cesse. Or une faculté, purement humaine, peut nous permettre de sortir de cette sorte de quête infernale. C’est la PENSEE. Une pensée peut, physiquement, nous permettre de nous sentir mieux. Elle a des effets sur le ciel, sur les arbres, sur nos jambes, notre estomac. L’idée de rencontrer une personne que l’on aime profondément ne peut-elle pas faire passer un ciel gris pour le plus beau des ciels ? Savoir qu’une soirée entre amis se profile au cours de laquelle on s’attend à vivre des moments chaleureux ne peut-elle rendre ces arbres décharnés plus gais ? Nos jambes, lourdes et fatiguées ne retrouvent-elles pas vigueur si l’on pense être poursuivi par un animal dangereux ? Notre estomac qui crie famine se tait lorsque l’on veut maigrir vraiment. Ces exemples pour illustrer le fait que nos besoins ou envies physiques peuvent être mis en veilleuse face à la puissance de notre esprit, celui-là même qui génère nos pensées. Alors il faut peut-être que nous soyons toujours à l’affût de la « bonne » pensée, celle qui sera susceptible de nous soulager. Saisir tout au long de notre vie des « points d’appui ».
mardi 25 novembre 2008
lundi 24 novembre 2008
dimanche 23 novembre 2008
samedi 22 novembre 2008
Nous interprèterons toujours les textes, les situations auxquelles nous sommes confrontés en fonction de NOTRE situation, espérant dans ceux-ci y trouver matière à réconfort. Car nous ne cherchons qu’à nous soulager. Et c’est justement ce filtre nous poussant au « bonheur » qui parfois génère le malheur. N’oublions pas l’accord Toltèque « Ne jamais rien interpréter », garder l’esprit neuf partout, toujours.
vendredi 21 novembre 2008
« La grande masse du peuple, intellectuellement incapable de comprendre les formidables avantages que tire le capital du système, portera son fardeau sans plainte et peut-être sans s’imaginer que le système est contraire à ses intérêts. » (lettre des frères Rothschild, adressée le 25 juin 1863 à Mrs Ikelheimer, Wall Street)
jeudi 20 novembre 2008
mercredi 19 novembre 2008
mardi 18 novembre 2008
lundi 17 novembre 2008
dimanche 16 novembre 2008
samedi 15 novembre 2008
vendredi 14 novembre 2008
jeudi 13 novembre 2008
mardi 11 novembre 2008
lundi 10 novembre 2008
Rien n’a aucun sens. Il faut que toute ma vie je cherche : « Que fait-on ici ? ». J’ai la capacité de me poser la question, il faut donc que je lise, j’écoute, je parle, je produise au service de la tentative de réponse à cette question, même si je sais parfaitement que jamais je ne la connaîtrai. Telle est ma QUÊTE. Courage !!!
dimanche 9 novembre 2008
samedi 8 novembre 2008
vendredi 7 novembre 2008
jeudi 6 novembre 2008
mercredi 5 novembre 2008
samedi 1 novembre 2008
Comment gérer l’apparente contradiction qui consiste, dans le système éducatif en particulier, à développer le « moi », la « personnalité », et le principe bouddhiste qui prétend que la douleur de cette existence ne peut être combattue que par l’étouffement de ce « moi » ? Et bien il faut se rendre compte que l’on ne peut combattre que ce que l’on connaît et que l’on possède vraiment. Développer un « moi » pour finalement mieux le combattre, permettre aux enfants de s’affirmer pour ensuite, à la lumière des expériences de la vie, combattre l’égoïsme, la peur de l’autre, enfin l’étouffement de ce que « je » suis au profit d’une vue sur l’humanité entière
Arrêt pour 3 jours
Arrêt pour 3 jours
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