dimanche 1 juin 2008
En lisant un texte sur la vie et l’œuvre de Platon je m’aperçois que je peine à accorder l’idée que je me fais de la vie et ce que j'ose en faire, de cette vie. J’ai peur de pencher du côté de mon cœur. Comme il est dit de Platon je suis intimement persuadé qu’au dessus ou plus exactement au-dedans de nous se niche un absolu dont nous n’avons pas conscience naturellement. Sans y voir une quelconque farce d’un Dieu joueur, qui chercherait à nous éprouver, je sens des niveaux de consciences où chacun, à l’image d’un emboîtement, joue son rôle sur le suivant, et bien entendu sur le tout.
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