lundi 30 juin 2008
dimanche 29 juin 2008
vendredi 27 juin 2008
jeudi 26 juin 2008
mercredi 25 juin 2008
mardi 24 juin 2008
lundi 23 juin 2008
dimanche 22 juin 2008
samedi 21 juin 2008
vendredi 20 juin 2008
jeudi 19 juin 2008
mercredi 18 juin 2008
NIVEAU : Il existe des niveaux de compréhension, de conceptualisation, très différents selon les gens, leur avancement sur le chemin de la vie. Tout ne peut donc pas être dit à tout le monde. Il nous faut rester toujours très prudent avec les mots et les idées émis car ils peuvent être mal compris, mal interprétés et devenir source d’incompréhension entre les personnes, voire plus…
mardi 17 juin 2008
lundi 16 juin 2008
MORT SANS PEUR : Intérioriser le fait que notre vie n’a aucune importance, sans pour autant la « dévaloriser ». Cela semble complètement antagoniste et doit pourtant devenir gérable, à l’image de la phrase de Gandhi : « Tout ce que tu fais est dérisoire, mais il est indispensable que tu les fasses. »
dimanche 15 juin 2008
samedi 14 juin 2008
vendredi 13 juin 2008
jeudi 12 juin 2008
mercredi 11 juin 2008
mardi 10 juin 2008
MORT : Pourquoi sommes nous désespérés lorsque quelqu’un meurt ? Ne pourrions nous pas renverser la chose en considérant que l’enfer se situe sur terre, que le chemin est rude ici bas et qu’il n’y a rien de triste à le quitter. Alors savoir que l’on pleure sur soi, qui reste, un peu plus seul, un peu plus abandonné.
lundi 9 juin 2008
MENAGE : J’essaie d’élaguer dans ma vie, dans les activités, dans les « désirs ». Me passer de moto fait partie de cet élagage à savoir me centrer sur autre chose qu’un moyen de transport, autant sur le plan financier que sur le plan temps imparti pour la chose. Oui, il est bon de parfois « faire le ménage » dans sa vie (Cf le film « Le dîner de cons »)
dimanche 8 juin 2008
samedi 7 juin 2008
vendredi 6 juin 2008
jeudi 5 juin 2008
Selon Ghazâlî, il existe 3 sortes de méditations sur la mort :
- Celui qui regrette que tout doive périr, qui redoute de quitter ce qu’il aime dans le monde. Cette méditation est négative
- Celui qui craint que la mort n'arrive trop vite, avant qu'il soit vraiment prêt
- Celui qui attend que s'accomplisse la promesse de la rencontre et de la vision de Dieu, qui y aspire de sorte qu'il préfère la mort à la vie. Il souhaite que la mort vienne vite
Il existe cependant, hors de ces trois catégories et supérieure à elles un rapport à la mort pour lequel vie et mort ne font qu'un. Celui qui médite ainsi sur la mort n'en a ni souci ni désir. Il ne souhaite ni la hâter ni la retarder. Il est indifférent à la mort. Il se tient déjà « dans la contemplation au sein de ce monde, où l'invocation domine son cœur », et, « dans tous ses états, il est immergé dans l'invocation et l'amitié de Dieu »
mercredi 4 juin 2008
mardi 3 juin 2008
Au départ pas même un regard, une étincelle, de celle que détectent tous les acteurs ou amoureux de romans lorsqu'ils savent que, oui, ça y est, il s se trouvent en face de celui ou celle qu'ils attendaient depuis au moins mille ans. Rien. J'avais compris que je mourrai embaumé de la banalité d'une vie où la solitude dispute aux faux espoirs, aux carrières avortées, aux ailes déchirées, et pourtant, l'espérance.
Il faut dire qu'à présent, me retournant sur ce passé qui sonne comme un futur, je vois, je me vois, avant, comme enserré par un nuage, esprit cotonneux qui naviguait à vue sans chercher, simplement avancer tel qu'on lui disait. Je suis de ces gens qui marchent et suivent, bons petits soldats de système établit, produit d'un enseignement où la tête vide doit se remplir de connaissances, comme des choses que l'on empile sur une étagère et que l'on inventorie lors des examens, parfois, pas trop souvent si possible, ça fait mal!
Pourquoi? Ben pour gagner de l'argent qui permettra de vivre dans, pour et par le système.