mardi 2 mars 2010
Bien sûr, tu seras là à mon dernier jour, dernière heure, derniers instants, mon bon Jean-Sébastien, et toi aussi Maurice, accompagné, pourquoi pas, de Claude. Oui Claudio, je suis venu me recueillir devant ce qui fût ton corps sur terre. Tu m’as tellement fait vibrer, tu m’as porté vers là où l’humain ne va pas tellement souvent. Et maintenant à toi de m’accueillir.
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