Zen : Le ZEN est une forme de bouddhisme mahayana qui insiste sur la méditation (Dhyana), ou « illumination intérieure » et particulièrement sur la posture dite de « ZAZEN »
lundi 27 avril 2009
dimanche 26 avril 2009
samedi 25 avril 2009
Je remue quelques petites choses sur terre, avec ce que je possède d’esprit, je tente de nourrir quelques personnes rencontrées des livres que j’ai lus, des musiques que j’ai écoutées. J’essaye d’harmoniser tout ça, à la façon du Bouddha qui a dit : « LE bonheur c’est quand ce que tu penses, ce que tu dis et ce que tu fais sont en harmonie ». Autrement dit lorsque aucune tension n’intervient dans ce rapport qui pourrait s’apparenter à la conscience, sans pour autant que le lien ne se distende, ce qui signifierait un renoncement, un refus d’action, bien dommage quand on songe au peu d’années que l’on passe ici bas. Profitons en, mais « intelligemment ».
vendredi 24 avril 2009
lundi 20 avril 2009
Nous n’avons pas le choix, soit nous nous servons de cet intellect qui nous fait mal pour justement nous soulager, alors nous devons étudier, casser constamment nos représentations par des lectures, des expériences qui nous permettent de progresser, de nous éclairer, de nous montrer les différents aspects de la vie, soit nous avons la capacité de devenir des « simples d’esprit » c'est-à-dire supporter la vie sans se poser de question, accepter tout ce qui nous arrive sans rechigner, sans nous plaindre, sans chercher à améliorer ce qui arrive. Une sorte de vie contemplative, sans jamais s’ennuyer. Peut-être est-ce d’ailleurs la suite, l’étape suivante de la première description.
dimanche 19 avril 2009
« La grâce est l’illumination de l’âme et de l’esprit, la force de l’élan capable de surmonter le tourment angoissé qui s’étend sur le passé et l’avenir. La grâce est LE DON DE LA VIE RECU ET ACCEPTE, la responsabilité pleinement assumée face au sens de la vie mystérieusement immanent. Celui qui se vit ainsi, sans vanité coupable ni plainte accusatrice, comme entièrement animé par l’élan évolutif qui « allume » la vie préconsciente et illumine la vie consciente, celui-là est « plein de grâce et de vérité » et devient, pour les autres, exemple vivifiant, transmetteur de la grâce, source de grâce. » (Symbolique de l'évangile de St Jean Paul DIEL P 82)
samedi 18 avril 2009
vendredi 17 avril 2009
mercredi 15 avril 2009
mardi 14 avril 2009
Dieu n'existe pas, le verbe n'existe pas, le commencement n'existe pas, le christ n'est pas un personnage, l'esprit et la Chair ne sont pas des entités. Tous ces termes ne sont que des symboles, des « façons de parler » pour exprimer ce qui seul, essentiellement, existe : la capacité de l'homme de s'émouvoir, durant sa vie éphémère, devant l'insondable mystère de la vie et de la mort, et de son danger spécifique de se laisser entièrement capter par ses désirs et ses angoisses multiples. C'est le conflit de l'être humain, symbolisée par la dualité esprit et en Chair (Symbolique de l'évangile de St Jean Paul DIEL P 72)
lundi 13 avril 2009
Avez-vous déjà observé une personne qui apprend à nager? Elle fait dix fois plus (trop) de mouvements qu'une personne qui sait nager. Pourtant le corps de chacun est porté par l’eau de la même manière. Le premier a peur, panique, alors que l'autre maîtrise. Ce qui fait que le non nageur se noiera là où le nageur avancera. Dans la vie il en est de même. Qui ne maîtrise pas en fait des tonnes pour surnager. Et souvent il se noie dans le détail. Le maître, celui qui possède son sujet, quel qu'il soit, avance tranquillement, sûrement. Et bien entendu cela s'applique à l'essence même de la vie, la conscience de notre mort. Peut-être est-ce un corollaire à la foi que de nous permettre de quitter sereinement ce monde. Une constante cependant est d’y avoir réfléchi, y avoir travaillé lors de notre vie. Comme on apprend à nager!
dimanche 12 avril 2009
samedi 11 avril 2009
jeudi 9 avril 2009
mercredi 8 avril 2009
lundi 6 avril 2009
dimanche 5 avril 2009
samedi 4 avril 2009
jeudi 2 avril 2009
Notre société nous empêche, en nous donnant tout en trop grande quantité, de nous adapter à notre monde. Cela nous coupe en premier lieu d'un besoin vital mais aussi standardise cette adaptation. Nous devons entrer dans des cases préétablies et nous plier à ces choses manufacturées, alors que nous aurions pu, nous pourrions, vivre avec notre ''sur mesure'', fabriqué par chacun en fonction de ce qu'il est vraiment, profondément.
mercredi 1 avril 2009
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